Lancement réussi pour l’école d’agroécologie

Lancement réussi pour l’école d’agroécologie

Le directeur de l’école d’agroécologie Sakoth Brang, nous parle de la nouvelle formation professionnelle en agroécologie qui vient d’être inaugurée au Bayon.

L’école d’agroécologie est un projet coopératif lancé en partenariat avec Pour Un Sourire d’Enfant (PSE) et Vivre de sa terre. L’école a ouvert ses portes le 18 janvier de cette année et accueille sa toute première promotion composée de 10 étudiants. Dans le respect de la tradition khmère, l’inauguration s’est accompagnée d’une cérémonie de bénédiction durant laquelle trois moines ont été invités pour bénir les étudiants, le personnel et les locaux. Dans la culture khmère, la cérémonie de bénédiction revêt une forte importance, elle apporte chance et prospérité à ceux qui la reçoivent.

Pour en revenir à l’école, notre programme de formation professionnelle vise à donner à des jeunes, en situation de décrochage scolaire et issus de familles défavorisées, des compétences techniques en agroécologie sur une période de 12 mois. Parce que nous souhaitions que notre formation soit adaptée au contexte et permette aux étudiants de pouvoir s’insérer sur le marché du travail en agronomie, le programme que nous proposons répond aux critères de certification cambodgiens dans le domaine.

Afin de s’assurer qu’ils développent des compétences et acquièrent les outils pratiques qui leur seront nécessaires pour leur futur métier, des sorties expérimentales sur le terrain sont régulièrement organisées. Les étudiants sont ainsi amenés à rencontrer les farmers que nous accompagnons dans le cadre de notre programme green farming, ou à bénéficier de leçons techniques dispensées par des professionnels sur des domaines précis. 

En plus des cours enseigné à l’école, ils auront l’occasion d’effectuer 2 stages dans des fermes, des entreprises agricoles, ou encore des coopératives. L’objectif est très clairement pour eux d’obtenir une première expérience professionnelle et de mettre à l’épreuve les compétences qu’ils ont acquis au cours de la formation.

Au-delà, le stage est l’occasion pour eux de se familiariser avec une entreprise qui les accueillera probablement à la sortie de leur formation. En effet, une étude menée sur notre école de pâtisserie a montré que près de 74% des étudiantes étaient embauchées à l’issue de leur apprentissage dans un des établissements où elles ont effectué leur stage. Nous espérons les mêmes taux de succès pour les étudiants de l’école d’agroécologie.

Quoi qu’il en soit, et parce que notre prise en charge ne s’arrête pas à l’obtention de leur diplôme, nous les accompagnerons jusqu’à la porte de leur premier employeur. 

À l’issue de la formation, les étudiants seront donc en mesure d’utiliser les compétences techniques pour mettre en pratique les techniques d’agroécologie et de porter les valeurs du développement durable dans leur futur métier. Cela implique aussi bien de savoir gérer de petites exploitations productives, que vendre leurs produits biologiques sur le marché local, que de savoir établir des liens avec d’autres agriculteurs et organisations,  ou encore de connaître les systèmes agricoles et alimentaires. En ce sens, l’objet premier de la formation n’est pas l’étude de l’agroécologie en tant que discipline, mais le métier de l’agroécologue. La principale compétence visée n’est pas de comprendre ou d’analyser l’agroécosystème, mais bien de se développer et d’agir en tant que praticien de l’agro écologie qui sait mobiliser les principes et les processus écologiques des écosystèmes pour produire de manière durable.

Au nom de l’école d’agroécologie, je tiens à remercier les généreux donateurs qui soutiennent ce projet ainsi que nos deux partenaires PSE & Chivit Neing Dei pour leur expertise pédagogique et leur participation.

De la maternelle à un diplôme qualifiant : le parcours éducatif du Bayon

De la maternelle à un diplôme qualifiant : le parcours éducatif du Bayon

La mise en place d’un parcours éducatif continu pour tous les enfants de l’école primaire du Bayon répond à notre volonté de leur assurer une meilleure intégration sociale et professionnelle.

Nous nous devons d’amener tous les enfants du Bayon à réaliser leur rêve.

Pour cela, nous venons d’entamer une reforme éducative au sein même de nos programmes afin d’offrir cette possibilité à chaque enfant du Bayon.

Nous nous sommes fixés des objectifs simples mais indispensables à la bonne réussite de leur projet professionnel :

  • Soutenir l’enfant tout au long de son parcours éducatif jusqu’à un diplôme qualifiant
  • Orienter et accompagner l’enfant dans la réalisation de son projet professionnel
  • Individualiser et personnaliser le suivi de l’enfant
  • Aider les enfants les plus en difficultés au niveau éducatif et/ou social
  • Améliorer la qualité de l’enseignement

Chaque enfant qui va débuter sa scolarité au sein de l’école primaire du Bayon par la grande section de maternelle va être suivi jusqu’à la réalisation de son projet professionnel.

« À côté du raisonnement et de la réflexion intellectuelle, le sens de l’observation, le goût de l’expérimentation, la sensibilité, les capacités motrices et l’imagination créatrice sont développées. »

enfant porte des fournitures scolaires

L’école primaire est une période qui joue un rôle déterminant dans le cursus scolaire de chaque élève. Nous souhaitons donc apporter une attention toute particulière au développement des apprentissages fondamentaux (lire, écrire, compter et respecter autrui). Pour cela, nous avons dédoublé les classes de CP, CE1 et CE2 et mis en place des cours de soutien pour les élèves les plus en difficultés. Un éveil à la culture, art, musique et sport a également été renforcé. Ce socle de base est primordial pour appréhender sereinement les classes de CM1, CM2 et 6éme et renforcer les capacités d’apprentissage des élèves. L’école primaire correspond également à une première ouverture sur le monde et un moment ou le développement personnel de l’enfant doit être activement encouragé.  

C’est pourquoi à l’école du Bayon, nous implémentons une pédagogie centrée sur les élèves et leurs capacités individuelles.

enfants de maternelles en classe
enfants essayent un instrument de musique
enfants en uniforme de sport célèbrent

Le suivi des élèves en écoles secondaires est quant à lui facilité par l’ouverture le 8 février 2021 d’un Community Center. Au sein de cette nouvelle structure, les élèves ont accès à des cours de soutien en littérature khmer, mathématiques et anglais. Un suivi individualisé est possible par la présence d’un travailleur social directement au centre. Au-delà du suivi scolaire, nous nous engageons également à orienter les jeunes dans leur parcours éducatifs puis professionnel car leur projet professionnel commence là ! La mise en place d’un processus d’orientation professionnel, métier et formation, va donc aider les élèves à faire le bon choix entre l’accès à la formation professionnelle ou à des études universitaires.

Distribution de matériels scolaires aux étudiants
rencontre avec les étudiants boursiers
distribution de matériels scolaires

Qu’ils veuillent être mécaniciens, boulangers ou infirmières, nous sommes là pour les aider à réaliser leur rêve.

Des nouvelles de l’école d’agroécologie !

Des nouvelles de l’école d’agroécologie !

Très prochainement, l’école d’agroécologie du Bayon doit ouvrir ses portes. Formation professionnelle d’un an, elle aura pour vocation de former des techniciens à l’agroécologie, qui seront également capables d’entreprendre et de porter les valeurs du développement durable dans leur futur métier. Les 2 professeures qui animeront cette formation vous en disent plus : 

Débouchés professionnels : une problématique de taille

Débouchés professionnels : une problématique de taille

L’Ecole du Bayon fait face à une problématique compliquée : trouver des débouchés professionnels dans un secteur grandement affecté par l’arrêt total du tourisme au Cambodge. Les étudiantes seront diplômées fin décembre 2020 et notre rôle est de les accompagner vers une sécurité financière à la sortie de la formation.

De la famille à l’employeur

Nous formons des étudiantes issues de milieux défavorisés à la boulangerie et à la pâtisserie grâce à une formation pratique et professionnelle qui leur permet de trouver un métier rapidement dans un domaine qui, jusqu’à février 2020, était en pleine croissance. La prise en charge des étudiantes ne s’arrête pas à la cérémonie des diplômes et nous les accompagnons jusqu’à la porte de leur premier employeur ainsi que dans la recherche d’un logement (petite chambre partagée en général) pour assurer leur sécurité lors de cette phase de transition. En effet, leurs familles étant éloignées géographiquement, elles ne peuvent pas sur elles ; d’autant plus que ces dernières sont souvent très loin de comprendre la réalité du monde du travail dans lequel leurs filles vont travailler.

la 6eme promotion de l'école de pâtisserie
filles sur des vélos

Des partenaires qui subissent la crise

Avec 6 ans d’existence, et plus de 80 étudiantes diplômées, l’école a acquis une certaine renommée auprès des hôtels et des boulangeries de Siem Reap. Les grands chefs de la ville reconnaissent la qualité de la formation et viennent même régulièrement chercher les étudiantes en fin d’année. 90 % des jobs sont en général trouvés dans le réseau de Siem Reap. Cette année, à cause de la crise Covid, 78% des hôtels de la ville sont fermés ou en cessation d’activité. Nos partenaires pour les stages et les débouchés professionnels n’ont aucune opportunité à nous proposer et nous devons trouver des débouchés professionnels pour les 26 étudiantes de la 6ème promotion (1/4 de plus qu’en 2019).

Phnom Penh, un marché local en croissance

La capitale du Cambodge accueille une population qui s’enrichit, avec une classe moyenne qui fréquente les hôtels, les cafés et les restaurants internationaux. Les produits de boulangerie ont la cote et de plus en plus de cambodgiens achètent du pain ou des pâtisseries françaises. Début novembre, nos équipes se sont rendus à Phnom Penh pour rencontrer de futurs partenaires. Des structures de grandes renommées comme le groupe Thalias (chaîne de grands restaurants de la gastronomie française implantés en Asie), les boulangeries Kayser (7 antennes à Phnom Penh) ou encore Brown Café (chaîne de Coffee Shop de luxe) se sont montrés intéressés, 9 candidatures sont aujourd’hui à pourvoir. 5 autres étudiantes ont déjà trouvé un emploi à Battambang et à Siem Reap.

Les jeunes filles ont parfois une forte appréhension à rejoindre la capitale (circulation, coût de la vie) aussi, nous les accompagnons dans ce changement et nous faisons le maximum pour qu’elles intègrent des structures qui prennent en charge leurs soins et leurs frais de repas.

Etudiante de pâtisserie entrain de réaliser un dessert
étudiantes posent avec un bouquet
Chef juge étudiantes de pâtisserie

La septième promotion

Les étudiantes de la 7ème promotion de l’école du Bayon débuteront le 4 janvier prochain. Nous avons fait un choix stratégique de n’en recruter que 15 pour respecter les règles de distanciation sociales mais aussi pour ne pas risquer de former des étudiantes pour lesquelles nous ne pourrions pas trouver de débouchés. Le gouvernement cambodgien prévoit 20 000 touristes pour l’année 2021. C’est un début d’espoir pour relancer doucement l’industrie touristique au Cambodge.

Formation Pro – Où sont nos anciennes étudiantes ?

Formation Pro – Où sont nos anciennes étudiantes ?

Entre 2014 et 2019, l’école de formation professionnelle en pâtisserie et boulangerie du Bayon a accueilli cinq promotions d’étudiantes et 80 jeunes femmes ont obtenu leur diplôme. Que sont-elles devenues ? Revenons sur leur parcours et leur situation actuelle dans un Cambodge en pleine croissance où subsistent de nombreuses inégalités.


Une enquête menée en début d’année 2020 auprès de 80 alumnis.  

L’étude menée par l’équipe sociale de l’Ecole du Bayon a pour but d’analyser l’impact de la formation en pâtisserie/boulangerie sur l’employabilité des jeunes filles, leur satisfaction personnelle à exercer leur métier ainsi que le niveau de revenu qu’elles parviennent à dégager pour mener une vie décente. Sur 80 étudiantes diplômées, 65 ont répondu à l’étude (par téléphone, soit via un formulaire en ligne), ce qui représente 81% de l’ensemble des étudiantes.


Quelques chiffres représentatifs :

  1. 86% des étudiantes interrogées sont actuellement en poste et 14% ne travaillent pas (chômage, maternité ou reprise des études à l’université). Les 3/4 travaillent sur Siem Reap.
  2. Le salaire moyen de nos anciennes étudiantes, toutes promotions confondues, s’élèvent à $190/mois.
  3. Aucune n’envisage de changer d’emploi et 9/10 se disent pleinement satisfaites des compétences acquises lors de leur formation au sein de l’Ecole du Bayon, et elles ont confirmé que ces compétences leur étaient très utiles pour effectuer leur travail au quotidien.

 

En effet, 82% des alumnis interrogées travaillent dans le secteur de l’hôtellerie/restauration et se servent donc quotidiennement des apprentissages de l’Ecole du Bayon.


Un revenu décent au Cambodge.

Bien qu’en janvier 2018, le Cambodge ait fixé le salaire minimal (voté pour le secteur du textile) à $170 par mois, la majeure partie de la population n’atteint pas ce montant. Les étudiantes qui sortent de l’Ecole du Bayon sont embauchées, la première année, pour un salaire moyen de $163. Ce salaire évolue rapidement et elles peuvent gagner près de 15% de plus dès la deuxième année.

Graphique des salaires des étudiantes

Le salaire moyen des étudiantes interrogées s’élèvent à $190/mois (excluant celles qui ne travaillent pas). On observe une corrélation positive entre les années d’expérience et l’évolution des salaires avec une augmentation de 40% en 5 ans. A la question : « Votre salaire vous permet-elle de vivre décemment, sans aide extérieure ? », 3% (2 étudiantes) affirment qu’elles vivent confortablement et 89% considèrent qu’elles ont juste de quoi survivre.


Subvenir à ses besoins et soutenir sa famille.

Les données ci-dessus nous renvoient à la situation très précaire des familles de nos étudiantes : beaucoup ont des dettes à rembourser et dès qu’un membre de la famille peut subvenir à ses besoins grâce à un salaire fixe, il va nécessairement aider sa famille. Sur les 65 étudiantes interrogées, 61 ont répondu qu’elles envoyaient chaque mois de l’argent à leurs proches. Les montants envoyés sont pour les 3/4 d’entre elles, compris entre $50 et $150 par mois soit parfois jusqu’à la moitié de leur salaire.

2 étudiantes cuisinent

KOLA – Ancienne étudiante, en train de former à son tour.


Le rôle de l’Ecole du Bayon.

Former des jeunes femmes à un métier pratique qui leur permet d’accéder rapidement au marché du travail et d’obtenir un salaire durable et décent. Pour la grande majorité, ce salaire est amputé d’une partie non négligeable qui revient à la famille ; ce qui fait que nos jeunes ont souvent encore le sentiment de subvenir tout juste à leurs besoins. Mais il faut rappeler la jeunesse de notre programme et la courbe d’évolution positive des salaires moyens : +40% en 5 ans. Et surtout, que derrière, c’est toute une famille qui va mieux, des frères et sœurs qui sont scolarisés, des grands parents soignés et des femmes qui sont fières d’être responsables de ce changement.

Ecole du Bayon – Faire face au Covid

Ecole du Bayon – Faire face au Covid

Cela fait presque quatre mois que le Covid-19 s’est répandu sur l’ensemble de la planète. Même si le Cambodge n’a répertorié officiellement que très peu de cas et aucun décès, le pays n’est pas épargné et les habitants souffrent de la perte de leur emploi et du manque d’activité touristique. L’Ecole du Bayon a essayé de réagir au mieux pour aider les familles dans cette crise inédite.

 

Soutenir les familles – La première urgence.

Depuis mi-mars, plus aucun touriste n’est entré dans le pays et une grande majorité d’hôtels, de restaurants et de spas ont fermé leurs portes, laissant des milliers de travailleurs sans emploi et sans aucune compensation de la part de l’état cambodgien. Beaucoup de nos familles sont victimes de cette crise et ont souvent perdu l’unique source de revenu qui permettait de subvenir aux besoins vitaux de 8 à 10 personnes. D’autre part, les enfants qui allaient à l’école étaient nourris matin et midi à la cantine, une charge en moins pour les parents ou les grands-parents. Ils sont dorénavant à la maison et doivent être nourris trois fois par jour.

Face à cette situation critique, l’Ecole a réagi vite. Dès la première semaine, tous les légumes produits par les farmers investis dans le projet des potagers, ont été rachetés par l’ONG pour ensuite être distribués gratuitement aux parents des élèves de l’école. Cela garantie un maintien de salaire pour ces femmes et l’assurance que les enfants continuent de manger des légumes sains. De plus, les équipes sociales ont effectué une étude précise des familles dont la situation était vraiment critique et des distributions de riz ont débuté dès la deuxième semaine de fermeture de l’école. Un soutien précieux de nos donateurs et de l’entreprise Cambodgienne AMRU RICE a permis d’aider au financement du riz et de légumes.

Fermeture de l’école de pâtisserie et du Coffee Shop – Et la suite ?

A l’Ecole de pâtisserie, nous avons dû renvoyer les 26 étudiantes dans leurs familles et par voie de conséquence et obligation, fermer le point de vente. Le Coffee Shop de la Bayon Pastry School, ouvert il y a maintenant plus de 4 ans, permet de financer 50% du budget lié à la formation en pâtisserie/boulangerie. Sa fermeture engendre une perte de revenus importante pour l’ONG que nous avons en partie compensée grâce à la générosité de nos donateurs. Après deux semaines d’ajustement et de vacances pour les équipes du service et de la cuisine, nous avons lancé plusieurs chantiers pour se préparer à la réouverture : inventaire, rangement, plantations dans le jardin, peinture des murs, grand nettoyage… Les membres de l’équipe ont en fin de compte été bien occupés et le Coffee Shop a finalement rouvert ses portes mi-juin. De plus, Sokhouern et Sokly ont élaboré une toute nouvelle gamme de pain avec une dizaine de références dans le but de les vendre dans notre future boulangerie. Elles ont eu le temps de tester de nouvelles recettes pour assurer une gamme variée que nous pourrons proposer aux hôtels et aux restaurants dès la réouverture de l’activité. Enfin, depuis fin avril, les professeurs de l’école ont lancé les cours en ligne pour nos étudiantes. Chaque jour, elles reçoivent des vidéos et des appels pour les maintenir au fait et leur faire réviser leurs leçons.

Suivi social, enquête et bilans.

Les équipes sociales sont très investies durant cette période. Elles ont tout d’abord travaillé dans l’urgence pour identifier les familles rencontrant des difficultés soudaines, pour pouvoir les aider au mieux. Mais ce temps de crise est aussi l’occasion de prendre du recul et d’analyser l’impact de nos actions sur les enfants et leur éducation. Une étude approfondie a été menée auprès des alumnis de l’école de pâtisserie. L’objectif : mettre à jour les données de nos anciennes étudiantes, analyser leur parcours et faire le point sur leur situation entre un à cinq ans après l’obtention de leur diplôme.

 

Et la communication ?

Nous avons lancé un grand chantier pour la refonte du site Internet de l’Ecole du Bayon. Vous le découvrirez bientôt ! Et nous essayons de rester en contact au mieux avec tous les amis de l’Ecole du Bayon, que nous savons à nos côtés. Un grand merci à vous tous pour l’aide que vous nous avez apportée pour faire face à cette crise et aider au mieux nos familles. Nous espérons très vite pouvoir rouvrir les écoles et retrouver les visages souriants des enfants qui jouent dehors.